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le tigre
23/04/2006 18:00
COMME UN TIGRE
Comme un tigre dans la nuit, Si j'étais le roi,jamais je serais dans l'ennui. Comme un tigre sur le trône Mon territoire serait mon royaume. Je ferais la fête toute l'année, Je serais le roi incontesté. Autant les serpents que les chimpanzés, Tout les animaux viendraient s'amuser. Si j'étais le roi,jamais je serais dans l'ennui, Comme un tigre dans la nuit.
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23/04/2006 11:09
C’était un dimanche, un dimanche de printemps, Il faisait beau, il faisait chaud. Je me suis promenée le long de la rivière Et c’est ainsi que je l’ai aperçue.
Elle était assise là sur ce banc fait de bois Avec sa jaquette brune sur les épaules, Elle s’était arrêtée, lorsque sa fille s’est baignée, Pour lui essuyer les pieds Avec sa jupe.
Tout son être brillait d’un éclat inexprimable, Je suis restée clouée là, sur la rive sur le sable. Une scène qui ne sera jamais photographiée Un tableau qu’aucun peintre ne peindra jamais, Mais qui existe au fond de ma mémoire.
J’ai écrit cette mélodie simplement pour te dire merci Et aussi pour me réjouir d’un peu de piment Que tu as su mettre dans ma vie
C’était un dimanche, un dimanche de printemps, Il faisait beau, il faisait chaud. Je me suis promenée le long de la rivière Et c’est ici que je t’ai rencontrée
Tu étais assise là sur ce banc fait de bois Avec ta jaquette brune sur les épaules, Tu t’étais arrêtée, lorsque ta fille s’est baignée Pour lui essuyer les pieds Avec ta jupe.
Depuis ce jour-là, tu est devenue pour moi Une personne de confiance que j’aime malgré moi. Tu me parles de Dieu de son règne, de sa bonté. Une amie qui se trouve toujours à mes côtés, Quand ça va bien, quand ça va mal.
Catherine, ton nom va si bien sur cette mélodie, sur ce refrain Catherine, je n’ai retenu dans cette chanson Qu’un bref instant de nos vies.
C’était un dimanche, un dimanche de printemps, Il faisait beau, il faisait chaud. Je me suis promenée le long de la rivière Et c’est ici que ma vie a changé.
C’était un dimanche, un dimanche de printemps, Il faisait beau, il faisait chaud.
Il faisait beau.
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bon week end
22/04/2006 21:46
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amour
22/04/2006 21:33
Il existe encore en mon cœur Une flamme qui brille de sa chaleur Cœur blessé pour avoir trop aimer nuéChaleur qui n’a jamais dimi Aimer une femme jusqu’à l’avoir perdu Diminuer mon corps et le mettre à nu Perdre mon identité jusqu’à mon existence Nu de toutes substances Existence d’un homme qui se retrouve dans le noir Substances qui s’effondrent brisant son seul miroir Noir d’une vie sans amour Miroir d’une âme brulante chaque jour Amour je ne demande qu’à renaitre Jour ou tu me reconnaitra comme un être Renaitre dans un coin de ton cœur Etre quelqu’un qui te redonne un peu de chaleur
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bonne nuit
11/04/2006 21:21
it s éteignent leurs échos, Tout s'endort sur la terre, Amour, c'est l'heure du repos Auprès de moi demeure et veille, Viens tendrement fermer mes yeux, Embrasse ton chéri qui sommeille, Et qui t'aime en rêvant aux cieux
Bonne nuit ....
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11/04/2006 10:13
POÉSIE DU MAL
La poésie du mal, regard sur un monde méconnu Un monde de malheurs, de peines, de fantasmes et D'espoirs perdus Un monde peuplé de gens de toutes formations Un monde où les gens ont perdu leurs dernières Notions
Un mal incompris et méprisé par la masse Un mal qu'on préfère ignorer et taire qu'il existe Un mal qui en réalité est une maladie néfaste Un mal de fou et d'existentialiste
Une maladie à l'état épidémique Qui rend les gens sains, amnésique Amnésie simulée pour ne pas avouer Qu'on tel fléau puisse exister
Qu'on l'ignore par vertu ou par snobisme Elle est là et non par altruisme On préfère reléguer le malade parmi les fous Enfin il l'a cherchée, après tout
Encore heureux que soient passées les chasses aux Sorcières En quantité, on les enverrait en enfer Une manière économique de se défaire De ces parasites réfractaires
La poésie du mal exprime ce que ces êtres Ressentent et vivent au plus profond d'eux C'est une poésie peut-être imparfaite Mais gens de vertu, essayez de lire et de Comprendre un peu
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comprendre
10/04/2006 09:35
J'aimerais pouvoir voler dans le ciel J'aimerais savoir comment c'est là haut Toucher les nuages, admirer le soleil Qui nous réchauffe pendant une journée d'été
Je voudrais comprendre comment font les oiseaux Pour être si bien dans leur peau Se sentir libre est une émotion Tout le contraire d'une prison La liberté n'est pas un choix C'est la réalité qu'on doute parfois
Par expérience, je vous le dis Faites votre possible Ne vous attirez pas d'ennui Car la vie est si paisible Souvent ce n'est pas le cas Car c'est de notre faute Je le dirai tant de fois Que vous ne m'écouterez pas
Maintenant que votre vie est faite Vous savez qu'elle n'est pas parfaite Il y a des hauts et des bas Pourtant, je ne l'oublierai pas Car cela, c'est ma vie à moi !
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modit
09/04/2006 20:52
J'aime jouer des mots! Jouer de mes mots, pour écrire ces mots, décrivant les maux, jusqu'a notre mort.
Ils s'épanchent sur le sort, qui marque notre destin, qui tache notre dessein, d'une encre indélébile, de pacts plus que débiles, provoquants tant de maux, d'ou il résulte la mort.
Dites moi si j'ai tort; de croire que quelques mots, qui un jour redigés puis, mal interprètés, font maintenant coulé, de tant de lettres de sang, la marque de satan, sur notre humanité...
tant de mots ... tant de maux... tant de morts...
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si j etais un poeme
09/04/2006 20:29
Si tu étais un poème je te lirais dans mon lit à la lumière d'un rêve plongée dans les draps de soie noire de la nuit
Je te lirais avec les yeux et tes mots seraient pour moi des gouttes de rosée qui brillent dans l'obscurité
Je te lirais avec ma peau et tes mots seraient pour moi une pluie de pétales de roses ivre de parfum et de joie
Je te lirais du bout de mes doigts et tes mots seraient pour moi le sable d'une plage qui frissonne sur mon corps
Mais tu n'es pas un poème tu es un recueil tout entier - il faut d'abord te feuilleter et t'ouvrir à la page de l'été Il faut chercher tes traces dans un pré en fleur au pied d'une montagne inconnue
Tu es là à l'ombre d'un noyer enveloppé de silence Sans t'approcher je m'enfile doucement comme le vent qui caresse ton visage et pose sur tes lèvres les senteurs de la mer
Telle un oiseau égaré je me perd dans le ciel presque imaginaire et je pense: si tu étais un poème...
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